07 octobre 2025


Aujourd'hui je reviens par ici avec un article très personnel, pour lequel j'ai eu besoin de beaucoup, beaucoup de temps à écrire. Cela fait maintenant deux ans que j'ai vécu un arrêt de grossesse spontané, ou ce qu'on appelle grossièrement une "fausse couche". Mais je n'aime pas ce terme : il me met clairement mal à l'aise, car rien de ce que j'ai vécu n'était faux, bien au contraire. On remonte à juillet 2023, où après presque 7 mois d'essais bébé (ce qui est peu avec le recul...), apparait enfin : LE test positif. Celui tant attendu chaque mois, qui devenait une énorme source d'angoisse, de stress, de déprime et de tristesse au fil que les mois passaient alors qu'il n'affichait qu'une seule barre. Ce fameux test, que l'on rêve toutes de voir apparaitre en positif, dès le premier mois d'essai. Mais dans les faits... rares sont les chanceuses pour lesquelles cela arrive "du premier coup" ! Et ça, j'ai mis beaucoup de temps à le réaliser.
 
Chaque mois, c'était une nouvelle chance, une nouvelle opportunité. J'étais dans l'espoir, l'attente, à m'imaginer que "cette fois-ci : c'est la bonne, je le sens". Sept mois, c'est peu. Mais c'est à la fois beaucoup. Beaucoup pour celle qui attend l'arrivée de cette grossesse plus que tout. Qui s'enferme dans sa bulle, seule, avec son chéri, face aux échecs mensuels. Celle pour qui voir arriver ses règles est vécu comme un deuil. Le deuil que ce ne sera pas cette fois-ci. Avancer sans savoir réellement si finalement notre corps en est capable, si c'est notre mental qui bloque tout le processus, lire tout, n'importe quoi, commencer à carrément être jalouse de voir des femmes inconnues enceintes dans la rue. Un cercle vicieux s'était formé tout autour de moi. J'étais devenue obsédée. Je ne voulais plus travailler, sourire, profiter de la vie, car j'avais l'impression que je ne méritais peut-être pas de devenir maman. Rôle dont je rêvais. On se remet en question, beaucoup. Peut-être que des blocages m'empêchaient d'avancer ? J'ai arrêté ma marque de bijoux, pensant que celle-ci me prenait trop d'énergie et bloquait ce nouveau projet de vie personnelle. Et puis les mois passaient, et toujours le même résultat : rien

Le corps médical nous dit "d'attendre au moins un an avant de vous inquiéter, vous êtes jeunes !". Mais ils ne se rendent pas compte à quel point ça peut être difficile psychologiquement ? Surtout que quand on se lance en projet bébé pour la toute première fois, on n'en parle rarement à son entourage et que de ce fait, on se sent extrêmement seule ? J'étais clairement à bout. Après plusieurs mois de tentatives en vain, je me posais vraiment la question du : "est-ce que je suis assez solide pour encaisser ces échecs encore des mois... voire des années ?". J'ai versé énormément de larmes pendant ces longs mois, seule, dans mon coin. 
 
On lit un peu de partout que "ne pas y penser est le meilleur moyen d'y arriver, partez en vacances !". D'accord. On essaye de ne pas y penser, surtout au début où ne se prend pas trop la tête car on sait que ça va arriver. On enchaîne les voyages, on profite de notre vie à deux en couple. On se dit que ce temps est finalement un cadeau et que le moment venu, bébé arrivera tout seul ! Et puis... rien. Alors on se met à regarder son cycle d'un peu plus près... à calculer un peu tout, à faire des tests d'ovulation chaque mois pour que ça soit encore plus précis que les nombreuses applications pour le suivi des cycles... et toujours rien. Je crois que ça a été l'une des périodes les plus difficiles que j'ai vécue psychologiquement. Heureusement, nous étions une équipe. Je partageais mes déceptions et mes peines chaque mois avec mon chéri, qui était d'un soutien et d'un optimisme sans faille. J'avais tellement hâte de lui annoncer la bonne nouvelle. Et puis finalement, après 7 longs mois, la délivrance : je suis enceinte

Je l'ai su avant même de faire un test de grossesse ! C'est une histoire assez folle en vrai. Je crois énormément aux signes depuis toujours et j'y prête beaucoup attention. Lors de mon ovulation, juste avant de tomber enceinte, une coccinelle était dans mon salon. J'ai su. Puis, j'ai décidé de tirer les cartes quelques jours plus tard (oui j'aime bien faire ça quand je me pose des questions existentielles sur mon avenir ou ma vie) avec une question simple et précise : "est-ce que je suis enceinte ?". Quelle ne fut pas ma surprise quand deux cartes se sont mises à littéralement sauter du paquet de cartes : "victoire" + "naissance". Cette fois-ci, il n'y avait plus de doutes. Je le savais au plus profond de mon âme : il n'y avait pas d'autres possibilités, il y avait trop de signes. Mais... c'était encore trop tôt pour le fameux test. Je devais attendre encore une bonne semaine afin de pouvoir faire un test précoce ! Et puis les jours passèrent et le jour J arriva enfin. J'ai acheté plusieurs tests, histoire d'être certaine, et cette fois-ci et pour la première fois il était : POSITIF

La journée fut si longue avant de pouvoir l'annoncer à mon chéri. Cette envie de crier sur tous les toits que ça y est, je suis enceinte bordel ! Cette joie, ce bouleversement d'émotions dans tout mon corps. Nous étions si heureux. On n'y croyait presque plus. C'est ridicule, avec le recul, de ne pas faire confiance en la vie ou en son corps à ce point là quand même... 
 
L'heure des vacances d'été sonna et nous allions dans le sud, annoncer la meilleure nouvelle de notre vie à nos familles. J'étais enceinte de quelques semaines à peine, mais passant toujours le mois d'août là bas, avec eux, ils auraient rapidement vu que j'étais enceinte donc on a préféré leur annoncer plutôt qu'ils le découvrent par mégarde. Après près de 6h de route, nous sommes dans le sud. Je me sens assez fatiguée, alors on fera l'annonce demain. Et puis... le matin j’aperçois un peu de sang. Mais je me dis que c'est le long trajet et la fatigue, que ça a du me perturber. Nous faisons l'annonce. Tout le monde pleure de joie. Nous sommes si heureux. Le lendemain, je perds deux fois plus de sang. J'ai mal, je ne peux plus me mettre assise et encore moins debout. Je ne mange plus, tout est douloureux. Je ne comprends pas. On va consulter, "vous n'auriez pas du faire un si long trajet en voiture, ce n'est pas raisonnable, si vous ne perdez pas plus de sang, ça ira, si vous n'avez pas de douleur intense, ça ira". Mais je savais. Au fond de moi, je n'y croyais déjà plus. Dès les premières pertes, j'ai su que c'était fini. Et puis, la culpabilité que m'a ajouté cette sage-femme, d'avoir "osé prendre la route enceinte!", n'a pas cessé de me poursuivre, encore aujourd'hui, deux ans après. Et si nous n'avions pas pris la route ? J'avais tout gâché. 
 
Et puis ces douleurs, de plus en plus intenses, en 48h je ne pouvais plus marcher, des contractions si fortes (plus fortes que pour mon accouchement, je vous laisse imaginer), mais je me disais que ce n'était pas si douloureux (le corps est incroyablement fort dans ces moments là). Ma belle-mère nous a obligés à aller consulter à l'hôpital afin de savoir ce qu'il se passait. Le trajet de 15mn dura une éternité. Chaque secousse, me tordait de douleur, à tel point que mon corps se mit en mode survie et se bloqua : d'abord mes doigts, figés, crispés, impossible à bouger : je commençais à paniquer de ne plus pouvoir les faire bouger. Puis la douleur continua de figer le reste de mon corps, toujours assis dans la voiture, je ne pouvais plus bouger mes bras, puis mes jambes, et je me voyais perdre connaissance. Mat s’arrêta aux pompiers, avant les urgences... ils ne réussissaient pas à me sortir de la voiture, malgré qu'ils soient 4 hommes. J'étais paralysée et mon corps bloqué en position assise, mon cerveau ne répondait plus. Il avait mis mon corps en pause de survie. Tout me sembla irréel. La douleur était si intense que mon corps stoppa tout ? Comment est-ce possible ? Je n'avais jamais vécu ça. 
 
Ils finirent par me mettre sur un brancard, je revenais petit à petit consciente, tremblante, ne sachant m'arrêter de trembler, et toujours le corps "bloqué". On nous installa en chambre. Une sage-femme arriva, je me vidais de sang (navrée pour les âmes sensibles...). Le verdict tomba enfin : je suis désolée madame... vous avez perdu le bébé. Un soulagement immense me traversa et la douleur disparut, comme envolée. Je le savais déjà avant, mais là, j'avais des mots. 
 
On me demanda souvent, tous les jours, pendant des semaines : comment vas-tu moralement ? J'allais étrangement bien, très bien, de ce coté. J'avais eu tellement mal en l'espace de quelques jours, que les douleurs du corps effaçaient les douleurs du cœur. Et tant mieux. J'étais forcément un peu triste, mais au moins, je n'avais plus mal. Il aura fallu un mois entier en août 2023 à prendre soin de moi, à me reposer, à récupérer de cette épreuve si intense physiquement. Je n'aurai jamais pensé qu'une "fausse couche" puisse faire si mal si tôt dans la grossesse... et le corps médical n'a jamais su m'expliquer non plus le pourquoi du comment j'avais eu de telles douleurs. 

Finalement, notre bébé arc-en-ciel (c'est le nom si joli qu'on donne aux bébés qui arrivent après la perte d'un premier bébé...), arrivera début novembre, trois mois après cet évènement très marquant dans ma vie de femme et de maman. Et c'est drôle, mais je n'étais plus si pressée de tomber rapidement enceinte. Cette épreuve m'avait fait réaliser que les choses arrivent toujours au bon moment, et qu'il ne faut pas presser les choses. Qu'être impatiente n'apporte pas de bonnes choses. Ça m'a permis de beaucoup relativiser par la suite. Même si pour ma grossesse pour Élio, je n'ai jamais été sereine à 100%, avec toujours cette peur, malgré moi, de pouvoir le perdre à tout moment...
 
Pour l'anecdote assez belle je trouve : j'ai perdu ce premier bébé le 3 août 2023, Élio est né un an pile après, jour pour jour, le 3 août 2024... 
 
Je voudrais dédier cet article, ce témoignage si personnel, car je sais qu'il pourra aider certaines d'entre vous, qui essayent, qui luttent chaque jour pour ne pas craquer, qui voient des mamans, des femmes enceintes, et qui ressentent beaucoup de peine, celles qui ne peuvent pas, qui ont perdu un bébé... vous n'êtes pas seules. Même si ça prend du temps, même si c'est douloureux, même si vous avez envie de tout envoyer valser, croyez en vous, croyez en la vie. Chaque étape et épreuve de la vie, aussi difficile soit-elle, est là pour nous enseigner quelque chose.
 
Alors ne lâchez-pas. 
 
Vous êtes plus forte que ce que vous ne croyez. 
 
"Tout est écrit, ça ne sert à rien de s'inquiéter".

Avec beaucoup d'amour et de bienveillance, 
 
Laetitia. 

06 décembre 2023

 
À l'approche de Noël il y a deux teams : la team qui a déjà trouvé tous ses cadeaux depuis des semaines, et celle qui galère, et ne trouve aucune idée ! Moi je fais clairement partie de la deuxième team, n'ayant même pas d'idées pour moi-même... je vous laisse imaginer le stress qui monte chaque jour qui nous rapproche du Jour J ! Alors j'ai décidé d'aider ceux et celles qui sont coincés dans la team "toujours en retard" avec une large sélection pour tout type de budget, pour femmes et pour hommes.


- Sélection femme -



- Sélection homme - 




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02 décembre 2023

 
Le froid est bien là, et pour rester au chaud, j'ai été faire un tour chez Uniqlo qui vient tout juste d'ouvrir son nouveau magasin aux Galeries Lafayette à Annecy ! Je me suis principalement dirigée vers leur gamme Heattech : une technologie aux propriétés innovantes dont le mélange de fibres libère l'excès de chaleur et d'humidité. Ils ont également sorti une gamme Heattech Ultra Chaud, pour 2 fois plus de chaleur ! Je vous mets les articles de ma sélection ci-dessous, et quelques autres idées de pièces hyper sympa pour être stylée et au chaud cet hiver !



 

 

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10 octobre 2023

 
Hello vous, aujourd'hui on parle tendance et clairement je n'aurai jamais cru céder à celle-ci : porter du rouge. C'est vraiment pas LA couleur qui m'attire de prime abord, mais finalement, j'adore la porter en petites touches ! J'ai pour l'instant commencé à la porter en accessoires : que ce soit sur un sac, une paire de sandales, baskets, une casquette...bref, il y en a pour tous les goûts ! Je n'ai pas encore sauté le pas de porter du rouge en vêtements, mais pourquoi pas après tout ! Ça rehausse et réchauffe un look un peu classique, et ça donne du peps. Alors, prête à craquer pour la tendance Red Obsession ? Voici une sélection rien que pour toi !


01 septembre 2023

 
Hello les filles, je reviens aujourd'hui avec une sélection de chaussures indispensables à avoir dans sa garde-robe pour la rentrée ! Cette année, les baskets sont évidemment un must-have et plus particulièrement les modèles Samba ou encore la Gazelle Bold en rose ou menthe d'Adidas qu'on voit beaucoup sur les looks de vos blogueuses préférées. Personnellement, je suis fan des Gazelle Bold vertes !! Et en plus elles sont en stock dans toutes les tailles pour l'instant ! Les mocassins sont aussi de retour, mais également les ballerines, malgré qu'elles fassent toujours autant débat. Personnellement, je n'aime pas vraiment les ballerines... mais sur certaines, je trouve ça quand même joli ! Aussi, les Biker Boots, les bottes et les santiags signent leur retour cette rentrée pour mon plus grand bonheur ! Les sabots sont également de la partie pour la rentrée 2023/2024. Et enfin pour terminer, bien qu'il soit encore un peu tôt, les Ugg sont de retour : qu'elles soient mini, à plateforme, ou chaussons. La version la plus stylée reste le modèle Tasman, décliné cette année en plusieurs coloris face à son immense succès l'année passée ! Je vous laisse avec une sélection pour chaque catégorie juste ici.
 
Bonne rentrée !!
 
 
SNEAKERS


MOCASSINS 

 
BALLERINES
 
 
SABOTS
 


BIKER BOOTS 
 
 
BOTTES


SANTIAGS


UGG


31 août 2023


Me revoilà après 2 semaines passées au Japon ! C'est une destination qui m'a toujours intriguée, mais toujours un peu réfractaire à l'idée de sauter le pas depuis des années sachant que je ne suis pas une grande amoureuse de la nourriture japonaise. Je me suis toujours dit "il faut que je découvre ce pays, mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir manger là bas ?!" C'est bête, mais c'était une réelle question qui jouait sur mon envie de partir. Je vous rassure, je ne suis pas morte de faim, loin de là ! Alors voici un petit récap' pour ceux et celles qui envisagent un prochain voyage au pays du soleil levant ! Nous sommes partis en amoureux depuis Genève avec courte escale à Paris puis un second vol de 13 heures pour Tokyo. Nous avons décidé de suivre un parcours classique d'une première fois au Japon : Tokyo - Kyoto - Osaka, avec un arrêt dans la ville de Nara entre Kyoto et Osaka, notre destination finale. Comme pour chacun de mes voyages, j'ai tout organisé de A à Z, sans passer par une agence car j'adore organiser et que tout soit carré ! Je me suis renseignée sur plusieurs blogs voyages et avis par ci par là, et hop, j'avais le plus gros de mes recherches d'effectuées.

 
BUDGET, TRANSPORTS, INFOS UTILES
 J'ai eu la chance de faire plusieurs hôtels en collaboration (merci à eux pour leur confiance) ce qui nous a enlevé une sacré partie de notre budget, mais sinon c'est une destination assez chère, on ne va pas se mentir. Nos billets d'avion nous ont couté presque 1.300€ chacun aller-retour, sans compter les transports internes. On s'y est pris assez last-minute, je crois 1 mois à l'avance à peine, comme pour chacun de nos voyages car on ne peut pas s'organiser trop à l'avance à cause de nos métiers respectifs. À Tokyo il existe plusieurs types de transports un peu comme en France : vous avez le métro, le train, le bus... Le métro coûte environ 150-200¥ par trajet, nous avions acheté les cartes de métro Pasmo (ou Suica) qu'on rechargeait tous les jours car on faisait pas mal de déplacements sur la capitale. Une question qui est très souvent revenue dans mes messages sur Instagram : "est-ce que prendre le JR pass vaut le coup ?" honnêtement tout dépend de la durée de votre séjour, de votre itinéraire, etc. De mon coté, après avoir calculé les gros trajets, ça ne valait pas le coup. Pour calculer les tarifs, horaires, etc je suis passée par ce site, et si vous souhaitez réserver votre JR pass, vous pouvez directement consulter ce site. D'autres pass régionaux existent également comme le Kansai Area Pass (Kyoto-Osaka-Nara) : 1 jour 18 € (2.200 ¥) ; 2 jours 36 € (4.300 ¥) ; 3 jours 44 € (5.300 ¥) etc, mais il est souvent plus judicieux de prendre les billets à l'unité.
 
Aussi à savoir : le Japon n'applique pas de changement d'heure en été ou hiver, en mai il faisait jour très tôt vers 5h du matin et le coucher du soleil vers 18h ! Pour Internet, nous avons opté pour l'option box internet WiFi que nous avons directement récupérée à l'aéroport et à rendre à notre retour à l'aéroport également (même si celui-ci est différent de celui de départ). Il me semble qu'on a payé 60-70€ pour avoir internet illimité pendant deux semaines.
 
 
C'est à Tokyo que commence notre voyage ! Après avoir atterri de nuit, nous déposons les valises dans notre premier hôtel : l'hôtel Mercure Ginza qui nous a invités pour la nuit. Ginza est un des quartiers connus de la capitale, notamment pour ses nombreux magasins de luxe, c'est le quartier chic de Tokyo. Première chose que je remarque à peine arrivée c'est la propreté des rues ! On se croirait dans un jeu vidéo tellement ça a l'air faux et immaculé ! Premier métro également, et là c'est la mission ! Pour se retrouver et savoir où et comment aller d'un point A à un point B, on demande de l'aide aux japonais, qui nous regardent et s'éloignent clairement face à nos demandes, visiblement pas à l'aise que des étrangers leur parle. Pour autant, les japonais sont les personnes les plus respectueuses et bienveillantes que nous ayons rencontrés au cours de nos différents voyages ! La période Covid s'est tout juste terminée ici au moment où nous y sommes (mai 2023), et tout le monde porte encore le masque. Finalement on arrive à déchiffrer par nous même les différentes lignes de métro, direction le quartier d'Akihabara, célèbre quartier nocturne avec ses nombreuses salles d'arcades, quartier des gameurs, à trois stations de notre hôtel. On se rend compte de la grandeur de la ville, et que clairement peu de choses se font à pied. D'un quartier à un autre il vaut mieux prendre les transports ! Après avoir dîné local et joué à quelques machines à pinces (Taito), nous rentrons dormir pour être en forme demain !
Le lendemain, changement d'hôtel pour 2 nuits : nous dormons au Pullman Tokyo Tamachi, qui nous ont également invités à découvrir leur hôtel dans le centre de Tokyo. Ce dernier est très bien placé car il se trouve près de la gare de Shinagawa, d'où nous prendrons le Shinkansen pour Kyoto dans quelques jours ! Pour notre premier jour à Tokyo, on décide d'aller au temple bouddhiste Senso-Ji, dans le quartier d'Asakusa, un incontournable de la ville. On savait que c'était un lieu très touristique, mais clairement on n'arrivait même pas à marcher tellement il y avait du monde, c'était très beau à voir mais pas vraiment agréable. Bon on a pas eu de chance, on ne s'est pas vraiment renseignés avant, mais on est tombés pile pendant la Golden Week au Japon soit les vacances scolaires des japonais... et forcément beaucoup plus de monde qu'à l'habitude ! Pour l'expérience sur place, j'ai décidé de tirer un Omikuji : c'est un petit papier qui annonce une bonne ou une mauvaise fortune. La coutume veut que si l'on tire une mauvaise fortune on l'abandonne sur place en l'attachant au temple, et au contraire si celui-ci est positif on le garde précieusement avec soi. On met une pièce de 100¥ (quelques centimes), de l'intention, on secoue la petite boite, et on tire au sort son Omikuji. Le mien m’annonçait bonne fortune alors je l'ai gardé ! Depuis le temple, nous avons décidé de marcher jusqu'à la Tokyo Sky Tree, la deuxième tour la plus haute du monde avec ses 634 mètres de hauteur, tout juste derrière la tour Burj Khalifa de Dubaï. Après une trentaine de minutes, nous arrivons devant cette immense tour qui abrite un centre commercial immense avec à l'intérieur un food court, des centaines de magasins et même un Pokémon center pour les fans !
 
Un peu plus tard dans la journée, on se dirige vers l'un des carrefours les plus connus au monde : Shibuya. C'est sûrement le quartier le plus célèbre de Tokyo. Avec ses immenses panneaux publicitaires lumineux, on pourrait trouver des ressemblances avec Picadilly Circus de Londres ou encore Times Square de New York ! Il faut savoir que près de 2,4 millions de personnes traversent ce fameux carrefour chaque jour, c'est énorme ! Pour avoir la meilleure vue, je vous conseille de grimper dans l'un des buildings, entre autre le magasin Magnet et d'aller au dernier étage où se trouve un bar (il faut obligatoirement consommer une boisson par personne pour pouvoir y entrer mais les prix sont "normaux" non abusifs alors ça vaut quand même le coup), la vue est à couper le souffle ! Dans le quartier de Shibuya vous trouverez également pas mal de magasins et de salles d'arcades, c'est un bon endroit pour faire du shopping ou s'amuser ! Le quartier est vraiment hyper vivant et on se rend compte de l'immensité de Tokyo. Après une petite crêpe chez Dipper Dan, on rejoint le Yoyogi Park un peu plus haut dans les hauteurs de Shibuya pour faire une petite pause et attendre que le soleil se couche pour observer de jolies couleurs au carrefour de Shibuya avant de rentrer dormir. Shibuya vaut vraiment le coup d'être vu de jour comme de nuit avec tous les panneaux publicitaires allumés c'est juste magique !


Troisième jour à Tokyo et aujourd'hui c'est direction mon étape préférée, le parc d'attraction : Tokyo Disney Sea ! Nous avions beaucoup hésité entre le Disney Sea qui a ouvert ses portes en 2001 et le Tokyo Disneyland, qui lui ressemblait beaucoup à celui de Paris (Space Mountain, Pirates de Caraïbes, le train de la mine etc..). Les deux parcs sont collés l'un à l'autre, à côté de la mer. Disney Sea est unique en son genre et ne ressemble à aucun autre Disneyland ! Celui-ci n'est pas du genre féérique comme les parcs classiques, mais il est sur le thème de la mer : on retrouve des gondoles comme à Venise, un volcan impressionnant en guise de "château", un gigantesque paquebot grandeur nature, ou encore tout un monde autour du dessin animé La Petite Sirène... le seul dans le thème "Disney" finalement ! Plus que dans n’importe quel autre parc dans le monde, la visite de chaque zone thématique est vraiment une attraction à part entière. Je vous conseille de venir tôt le jour de votre visite, et de réserver votre journée à l'avance en évitant les vacances scolaires et weekends, car les files d'attentes sont assez longues : il y a plusieurs attractions que nous n'avons pas pu faire car elles affichaient entre 2 et 3 heures d'attente !! Du délire. Mais nous avons adoré notre journée ! Même Mathieu qui n'aime pas vraiment les parcs d'attraction l'a trouvé incroyable ! À savoir : j'avais réservé nos billets (9,400¥ soit 62€ environ le billet) sur l'application Klook, avec réception immédiate des billets.


Quatrième et dernier jour sur Tokyo : direction le quartier d'Harajuku et sa fameuse Takeshita Street ! Harajuku c'est le quartier avant-gardiste de Tokyo. Vous y retrouverez des cafés à thème, pas mal de boutiques style punk/gothique/frippes, ou encore des personnes déguisées en cosplay se promenant dans la rue principale. On a gouté les fameuses fraises sucrées en sucette (strawberry fetish) : une tuerie ! Bon c'était pas donné 4€ les 4 fraises, mais excellent ! On s'est ensuite arrêtés dans un petit photobooth nommé Photoism pour immortaliser le moment avec tout plein de bonnets, peluches et autres accessoires kawaii ! On ne comprenait rien aux instructions et les photos se sont enchainées rapidement... mais on aura bien rigolé ! En continuant notre promenade, on s'est dirigés vers l'avenue Omotesando : les Champs-Élysées de Tokyo ! Tout un tas de magasins de luxe et une rue très large. La fin de journée pointant déjà le bout de son nez, on se dirige dans le dernier quartier de notre liste : le quartier de Shinjuku, le quartier de vie nocturne par excellence et son immense chat en 3D qui fascine tous les passants. Si vous êtes dans le quartier, éloignez-vous de la foule en partant à la découverte de la Golden Gai : petite ruelle avec plein de mini-bars accueillants seulement quelques chanceux pour une ambiance conviviale et intimiste. Dernier dodo et demain ce sera... Kyoto !!!
 
 

Après avoir passé un peu plus de quatre jours sur Tokyo, nous quittons la capitale japonaise sous la pluie et donc sans regrets. Une fois à la gare de Shinagawa, nous prenons le Shinkansen (un billet Tokyo-Kyoto coûte environ 95€/pers. et dure 2h-2h30) pour Kyoto : la destination que j'attendais le plus de faire ! Vous pouvez également prendre le train depuis la gare centrale de Tokyo. Nous arrivons sur Kyoto dans la soirée, toujours sous la pluie (dommage!), alors on pose nos valises dans un petit hôtel que nous avions réservé avec un très bon rapport qualité-prix (200€ pour 4 nuits soit 50€ la nuit!!) et surtout très bien placé, propre, et près de la gare de Kyoto : l'hôtel The M's Kyoto. On mange un Shabu-Shabu : fondue japonaise à base de viande. Et il faut souligner que la viande au Japon c'est vraiment mais vraiment quelque chose !! Je n'en mange que très rarement de mon côté, et ce serait plutôt quand je suis au restaurant, mais une chose est sure : je n'ai jamais mangé une aussi bonne viande de ma vie (dont la célèbre viande de Kobe) qu'au Japon ! D'ailleurs, au pied de l'hôtel, se trouve un excellent restaurant de viande où nous avons diné plusieurs fois : le Hiro Beef Kyoto.


Le lendemain, on se promène dans les ruelles de la vie et wow, j'ai l'impression d'être dans un autre monde tellement la ville est authentique et semble figée dans le temps. On remonte la grande rue Shijodori jusqu'à la porte Nishiromon qui mène au grand sanctuaire shinto de Gion : le Yasaka-Jinja. C'est l'un des sites les plus vénérés de la ville, où se trouvent une salle d'offrande impressionnante et une scène centrale ornée de lanternes. Continuez la visite en remontant l'allée derrière le sanctuaire pour rejoindre le sublime jardin de Maruyama, connu pour être un lieu d'observation des cerisiers en fleurs. Même si la saison des cerisiers est terminée pour nous, on profite de ce havre de paix verdoyant et reposant. Après notre promenade, on redescend la ville vers le quartier de Gion et la rue Hanamikoji. À la nuit tombée, si vous êtes suffisamment chanceux, c'est ici que vous pourrez peut-être croiser une Geisha ! Attention, beaucoup de femmes se déguisent et très peu de chance d'en croiser des vraies car elles se confondent bien avec les touristes si on est novices en la matière ! Nous n'avions pas réservé suffisamment notre voyage à l'avance, mais nous aurions adoré assister à une cérémonie du thé, voir un spectacle de Geisha ou encore dormir dans un Ryokan à Kyoto.


Deuxième journée sur Kyoto, et ce matin c'est direction le plus grand sanctuaire shintoïste du Japon : le Fushimi Inari Taisha érigé en 711 et dédié à la déesse du riz Inari. La beauté de ce complexe se dévoile au gré d'une randonnée pédestre le long d'une vallée, balisée par des milliers de portiques rouges appelés torii. Selon une croyance populaire traditionnelle japonaise, le rouge aurait le pouvoir d'éloigner les démons et les maladies et est devenu un symbole de défense et de guérison. Le site est l'un des plus touristique de la ville, ce qui le rend un moins peu moins charmant que d'autres lieux, mais c'est clairement à voir ! Puis direction le Pavillon d'argent en bus, moyen de transport que nous avons le plus utilisé sur Kyoto. Pour la petite histoire, le temple bouddhiste Ginkaku-Ji n'est pas recouvert d'argent comme son nom pourrait l'indiquer... il a été construit en 1482 par Ashikaga Yoshimasa comme villa secondaire, voulant rivaliser avec le Pavillon d'Or alors construit par son grand-père. Le temple est peu touristique (entrée à 500¥) et il faut l'avouer c'est très agréable. On se retrouve à suivre un petit chemin tout autour du temple, au milieu d'un très joli jardin, c'est vraiment une promenade apaisante. En sortant du site, on se dirige vers de petits escaliers qui mènent à un petit sanctuaire sans personne autour : le Hachi-Jinja Shrine où j'en profite d'ailleurs pour tirer un nouvel Omikuji. Le silence qui y raignait était vraiment puissant, ce moment était vraiment hors du temps, un de mes plus beaux moments à Kyoto, sûrement car on était seuls au monde !
 

La suite de notre découverte de Kyoto passe par la visite du « Temple de l'eau » : le Kiyomizu-Dera, un complexe immanquable de la ville. Le temple tient son nom de la chute d'eau qui se trouve à l'intérieur de son enceinte, eau provenant des collines environnantes, kiyoi mizu signifiant « eau pure » ou « eau de source ». Le site regroupe plusieurs temples et sanctuaires bouddhistes et shintoïstes, avec un majestueux temple principal. C'est également l'une des plus jolies vues de la ville. Après notre visite, nous rejoignons sûrement la ruelle la plus connue de la ville : la rue piétonne de Sannenzaka. Elle est assez étroite, raide, mais fermée aux véhicules et on y croise souvent des touristes déguisées en Geisha. Si cela vous intéresse, vous pouvez d'ailleurs louer des kimonos pour la journée dans de nombreux magasins locaux. La rue est assez authentique avec des jolies maisons en bois, des ryokans, des cafés et restaurants typiques, mais également beaucoup de boutiques de souvenirs et ça reste un des lieux les plus touristiques de la ville. Je vous conseille d'y aller au lever du soleil pour pouvoir profiter sans qu'il y ait trop de foule. Enfin, après avoir fait quelques achats souvenirs, nous décidons d'aller manger un Katsugyu dans un petit restaurant : c'est une spécialité de bœuf pané et hyper tendre. Une fois la nuit tombée, en sortant du restaurant, on pense avoir aperçu une Geisha accompagnant une Maiko (apprentie Geisha) pour un show. On ne s'y connait pas forcément bien, mais elles en avaient tout l'air !


Déjà notre dernier jour sur Kyoto, et c'est direction l'Ouest de la ville aujourd'hui, sur les hauteurs, que nous nous dirigeons. Nous commençons par visiter la célèbre Bambouseraie d'Arashiyama, et sincèrement je n'ai pas du tout aimé. Alors oui c'est impressionnant de voir tous ces bambous immenses, mais il y a énormément de monde, de bruit, de calèches, et ça rend la visite désagréable... Autant on était tombés par hasard sur une petite forêt de bambous hyper calme en remontant un petit sentier au Fushimi-Inari, autant là, on a vite fait demi-tour. Pas vraiment d'intérêt. On s'est ensuite dirigés en bus vers le Pavillon d'Or, le « Kikaku-Ji », temple caché aux pieds des montagnes. Le temple porte ce nom car il est recouvert d'épaisses couches de feuilles d'or, après avoir été incendié plusieurs fois au cours de son existence. Le temple est d'ailleurs inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1994 et fait partie des incontournables de la ville à voir si vous êtes de passage à Kyoto. Enfin, pour clôturer notre journée et séjour à Kyoto, on passe faire un tour au marché culinaire de Nishiki puis on se promène sur l'une des plus grandes rues de la ville : Kawaramachi-Dori, une longue rue pleine de magasins et de nombreux choix de restauration. C'est la partie la plus moderne et animée de Kyoto qui reste éveillée jusqu'à des heures tardives, il y a donc beaucoup de choses à faire ici. 
 
 
 
Nous sommes déjà à plus de la moitié de notre séjour au Japon, et avant d'aller passer la fin de notre voyage sur Osaka, on décide de faire une courte étape d'une journée à Nara, ville célèbre pour ses daims en liberté ! Nara se rejoint très facilement depuis Kyoto en train en moins d'une heure (700¥ environ par personne). Nous séjournions pour la nuit dans l'un des plus beaux hôtels que j'ai pu faire dans ma vie : le JW Marriott Hotel Nara. L'hôtel est très bien situé, luxueux, avec une piscine intérieure, un personnel très attentionné, une chambre incroyable, et surtout la possibilité de dîner avec un chef privé qui préparera votre dîner devant vous dans une des salles privatives de l'hôtel ! Une expérience inoubliable (pensez à réserver à l'avance auprès de la réception ou sur leur site). Le parc de Nara se rejoint facilement depuis l'hôtel, par bus ou vélo, en une dizaine de minutes seulement !
 
 
Des centaines de daims se promènent partout dans le parc. Des galettes de maïs sont vendues aux entrées du parc pour pouvoir nourrir les daims. Malgré que ce soit un endroit assez touristique, n'oubliez pas que les daims restent des animaux sauvages... Certains se reposent, visiblement gavés de galettes par les touristes, et ne veulent pas être dérangés. Ceux qui veulent des galettes vous trouverons facilement, vous pourrez alors les nourrir dans le respect des animaux. Le parc est suffisamment grand pour vous éloigner un peu de l'entrée principale, et enfin profiter de moments privilégiés avec les daims loin du monde. En marchant quelques minutes, vous tomberez face à quelques temples également très jolis, notamment : le Kasuga-Taisha et le Kofuku-Ji.




Après avoir passé presque 10 jours à vadrouiller, nous posons nos valises pour notre étape finale : Osaka. Nous reprenons la suite du voyage depuis la gare de Nara d'où nous sommes arrivés la veille, pour cette fois-ci rejoindre Osaka, en 1 heure à peine de train (800¥ environ). Nous avons logé à l'hôtel Aloft Osaka Dojima, à moins de 10 minutes à pieds de la gare d'Osaka. Nous avons eu la chance d'être upgradé en suite avec une vue à couper le souffle, digne d'une vue New-Yorkaise ! L'hôtel dispose d'un billard, d'un bar, même de machines à laver à disposition, et à souligner que le personnel de l'hôtel a vraiment été adorable et serviable avec nous tout le long de notre séjour à Osaka. Pour notre première journée, on l'a joué plus tranquille que d'habitude, on s'est dirigés vers le majestueux château d'Osaka, datant de 1583, entouré de douves et également d'un paisible parc où nous nous sommes promenés, à l'écart de la foule, qui elle se trouve plutôt aux abords du château. Le soir venu, nous ressortons pour voir la ville de nuit et allons dans le quartier de Namba, quartier de vie nocturne d'Osaka. Les nombreux panneaux lumineux donnent énormément de charme à ce quartier de nuit ! Vous pouvez également vous glisser dans les ruelles aux alentours pour faire un peu de shopping :)


Pour notre deuxième jour, nous nous sommes donné le point de départ de la tour Tsutenkaku, dans le quartier de Shinsekai « nouveau monde ». De nombreuses enseignes et panneaux publicitaires rétro trônent dans ce quartier. Laissez-vous tenter par les spécialités culinaires de la ville, comme le célèbre kushikatsu ou encore les takoyaki. Vous pourrez rejoindre assez facilement le quartier de Namba en remontant à pieds ou bien même en métro. Nous avons beaucoup aimé ce quartier très vivant de jour comme de nuit ! Beaucoup de restaurants, de magasins, de boutiques de souvenirs, de salles d'arcades. Puis passage oblige au célèbre Glico Sign du quartier de Dotombori ! Vous avez également un grand centre commercial, le Daimaru avec en son sein un Pokémon Center, un Shake Shack, mais aussi des magasins de luxe avec des maisons comme Gucci, Hermès, etc... N'hésitez pas à continuer votre promenade jusqu'au quartier de Shinsaibashi, galerie marchande couverte de près de 2 kilomètres de long. Enfin, si vous souhaitez faire du shopping plutôt streetwear ou découvrir des boutiques de petits créateurs, je vous recommande de faire un saut à Orange Street. Il y a également énormément de magasins de sneakers dans ce quartier, avec des modèles parfois introuvables ailleurs, je trouve que ça vaut vraiment le coup pour les amateurs ! Il y a aussi pas mal de petits cafés et restaurants sympas, dans une toute autre ambiance que le centre ville.
 
 
C'est malheureusement la fin de notre voyage... et pour cette dernière journée au Japon, la pluie est au rendez-vous alors c'est direction le parc d'attraction d'Universal Studio. Le parc abrite notamment l'unique Mario World, monde thématique ouvert en 2021 autour de l'univers de Mario. Je vous conseille tout comme pour le parc de Disney Sea, de réserver votre billet à l'avance sur l'application Klook. L'accès au monde de Mario étant limitée en nombre par heure, je vous recommande fortement de réserver soit votre accès en supplément, soit de vous diriger directement à l'intérieur du parc aux bornes placées à cet effet où vous pourrez retirer gratuitement un ticket horodaté pour accéder spécifiquement au Mario World à une heure précise. Nous étions là un dimanche à l'ouverture, en pleine Golden Week, et nous avions eu des tickets d'accès... pour 16h. Les tickets gratuits s'envolent très rapidement, donc allez-y dès votre arrivée ! Malgré la pluie, nous avons passé une super journée : il y a plusieurs parades (Pokémon, Mario...), pas mal de restaurants, diverses attractions pour les petits et les plus grands ! Le parc est  facilement accessible depuis le centre d'Osaka en métro notamment, tout comme l'aéroport pour notre retour, très facile d'accès.
 
 
Voilà, j'espère que cet article vous aura été utile ou vous aura donné
peut-être également envie de découvrir à votre tour le Japon !
À très vite pour un nouvel article voyage...
 
Laetitia ♡

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